Mon but est de faire croire à la réa­li­té de ma vision inté­rieure. Quel que soit le sujet repré­sen­té ou la thé­ma­tique choi­sie, la démarche reste tou­jours la même : créer l’illu­sion de la réa­li­té. Le réa­lisme pho­to­gra­phique à la pein­ture à l’huile rend pos­sible l’im­pos­sible, maté­ria­lise l’im­ma­té­riel, en créant l’illu­sion de ma réa­li­té sub­jec­tive dans la réa­li­té objec­tive du spectateur. 

La pre­mière phase de ma démarche, de 1994 à 2011, est l’ex­plo­ra­tion de ma réa­li­té inté­rieure, dans les domaines de l’art fan­tas­tique, du sym­bo­lisme et du sur­réa­lisme. L’ob­jec­tif est de créer un monde aus­si foi­son­nant, étrange et dérou­tant que pos­sible, tout en lui don­nant l’ap­pa­rence de la réa­li­té, par l’u­ti­li­sa­tion du réa­lisme pho­to­gra­phique. La cou­leur est employée de manière trans­gres­sive, en ne tenant pas compte de la cou­leur ori­gi­nelle du sujet. Cette démarche per­met une liber­té totale dans le choix des couleurs. 

La deuxième phase de ma démarche, à par­tir de 2011, passe de l’art fan­tas­tique à l’art pop et l’art contem­po­rain. Elle pour­suit néan­moins la logique de la pre­mière, mais en dépla­çant l’é­trange et le dérou­tant du sujet à sa repré­sen­ta­tion. Il ne s’a­git plus de repré­sen­ter une mul­ti­tude d’ob­jets étranges et extra­or­di­naires, mais de repré­sen­ter un unique objet, banal et com­mun, d’une manière étrange et extra­or­di­naire. Voir l’ex­tra­or­di­naire dans le banal, l’é­trange dans le nor­mal, l’u­nique dans le multiple.

Chocolat suisse

Huile sur toile – 84x200cm – 2021

Cho­co­lat suisse à sym­bo­lisme har­mo­nique mul­tiple : Diver­si­té des cou­leurs dans l’unité de la forme. Diver­si­té des arômes dans l’unité du cacao. Diver­si­té des can­tons dans l’unité de la consti­tu­tion. Diver­si­té des ori­gines, des races, des iden­ti­tés et des langues dans l’unité de la natio­na­li­té. Diver­si­té du pou­voir dans l’unité de la déci­sion. Diver­si­té des opi­nions dans l’unité du consen­sus. Diver­si­té des confes­sions dans l’unité de la croix.

Fleur comestible

Huile sur pan­neau – 122cm – 2017

Une salade verte éveille notre appé­tit. Mais une salade mul­ti­co­lore déroute notre per­cep­tion, coupe notre appé­tit et nous fait voir une autre réa­li­té. Le rap­port séman­tique entre l’ob­jet et sa cou­leur natu­relle nous le fait recon­naître. Cette recon­nais­sance est trou­blée quand la cou­leur natu­relle est modifiée. 

Fraise bio

Huile sur bois décou­pé – 120x120cm – 2019

Nous nous sommes éloi­gnés de la nature pour construire un monde sté­rile et arti­fi­ciel.
Notre esprit s’est éloi­gné de notre nature propre pour construire un monde de pen­sées sté­riles et arti­fi­cielles.
Notre concep­tion de ce qui est natu­rel est basée sur notre vision arti­fi­cielle de la vie. C’est pour­quoi une fraise d’au­jourd’­hui, aus­si bio­lo­gique soit-elle, est arti­fi­cielle par rap­port à son ancêtre la fraise sauvage.

Nourriture saine

Huile sur bois – 122x125cm – 2019

L’homme mani­pule la nature depuis des siècles, et la nour­ri­ture d’au­jourd’­hui, aus­si bio­lo­gique soit-elle, est déjà une nour­ri­ture trans­for­mée par rap­port à son état ori­gi­nel. Elle nous paraît pour­tant natu­relle. Dans cette logique, la nour­ri­ture de demain, tou­jours plus arti­fi­cielle, paraî­tra natu­relle aux yeux de ses contem­po­rains. Et nous pour­rons sans hési­ter man­ger un ham­bur­ger bleu en le trou­vant appétissant.

Totem mangeable

Huile sur bois – 200x100cm – 2019

Vivant dans la nature, nous trou­vions dif­fi­ci­le­ment notre nour­ri­ture, en chas­sant et en culti­vant. Elle était rare, mais natu­relle. Vivant dans un monde arti­fi­ciel, nous trou­vons faci­le­ment notre nour­ri­ture, en allant l’a­che­ter. Elle est abon­dante, mais arti­fi­cielle. L’a­bon­dance et son corol­laire l’ar­ti­fi­cia­li­té sont l’al­pha et l’o­mé­ga de notre rap­port moderne à la nourriture.

Good soup & Tasty sandwich

Huile sur pan­neau – 123cm – 2017 | Huile sur pan­neau – 52x184cm – 2014

« Good soup » et « Tas­ty sand­wich » sont une réflexion sur l’ex­ploi­ta­tion du corps de la femme. A tra­vers la sexua­li­té, la mode ou la publi­ci­té, le corps de la femme est uti­li­sé, consom­mé puis jeté dans l’ou­bli. L’é­ter­nel sou­rire de Bar­bie repré­sente une forme d’as­sen­ti­ment incons­cient qui par­ti­cipe à cette exploitation.

Porte de frigo

Huile sur toile – 81x54cm – 2012

Une porte de fri­go est une chose que l’on ouvre vingt fois par jour sans y jeter un regard, occu­pés que nous sommes à contem­pler l’in­té­rieur du fri­go. Au pre­mier regard, l’ir­rup­tion sur­réa­liste d’élé­ments incon­grus ne change pas l’as­pect de cette porte, mais trans­forme un objet banal et fonc­tion­nel en un monde de fan­tai­sie et de mystère. 

Boum !

Huile sur toile – 184x184cm – 2014

Un cadeau-sur­­prise pos­sède une force cen­tri­fuge et une force cen­tri­pète éle­vées à un haut degré d’in­ten­si­té. Dans un pre­mier temps, son conte­nant visible est si éblouis­sant de beau­té qu’il nous fait oublier son conte­nu. Dans un deuxième temps, son conte­nu invi­sible est si mys­té­rieux qu’il nous fait oublier son conte­nant, qui est déchi­ré et jeté dans l’ou­bli, alors même que son conte­nu pour­rait être déce­vant par rap­port à son contenant.

Made in China

Huile sur toile – 100cm – 2011

Made in Chi­na repré­sente la Chine des dra­gons, des man­da­rins et de la Cité Inter­dite, conver­tie en puis­sance indus­trielle de masse. Le dra­gon chi­nois, mort, en boîte de conserve, repro­duit à des mil­liards d’exem­plaires, est le sou­ve­nir déchu de la Chine ancienne dans la Chine moderne.

Objet non identifiable

Huile sur toile – 100cm – 2013

Il ne faut pas confondre un objet non iden­ti­fiable avec un objet non iden­ti­fié. Dans le pre­mier cas, il est impos­sible de défi­nir l’ob­jet, dans l’autre c’est le contraire. Téton, ou bou­ton, ou cochon, ou bal­lon, ou tout ça à la fois, font un objet non iden­ti­fiable. Il ne s’a­git pas de se deman­der ce que l’ob­jet est en réa­li­té, mais d’ac­cep­ter la réa­li­té de l’ob­jet sans se deman­der ce qu’il est.

Confœderatio Helvetica

Huile sur toile – 100x230cm – 2015

Un pays émet­tant un billet d’un mil­liard est un pays rui­né. Son déve­lop­pe­ment stop­pé, il se replie sur lui-même, reve­nant par la force des choses à ses fon­da­men­taux et à ses richesses natu­relles, s’il en a.
Le nain repré­sente l’hel­vète. Habi­tant des mon­tagnes, il y creuse des cavernes et des gale­ries. Il vit sur un tas d’or et taille les pierres pré­cieuses. Il confec­tionne, avec une effi­ca­ci­té et une pré­ci­sion légen­daire, des machines et des armes ter­ri­fiantes comme des chefs‑d’œuvre d’or­fè­vre­rie. Il garde jalou­se­ment ses tré­sors et la clef de son coffre ne le quitte jamais. Il n’aime pas être déran­gé et le fait savoir promp­te­ment. Roi sur sa mon­tagne, il veille farou­che­ment sur sa solitude.

One million dollars banknote

Huile sur toile – 100x230cm – 2010

Si les États-Unis d’Amérique émet­taient un billet d’un mil­lion de dol­lars, cela serait le signe de leur ruine. Le rêve amé­ri­cain de liber­té, de pros­pé­ri­té et de jouis­sance est sym­bo­li­sé par le cochon-tire­­lire au milieu d’une fête, dans une abon­dance de nour­ri­ture et de ser­pen­tins. Le rêve, comme les bulles de savon, finit tou­jours par s’évanouir. Et le désir de jouis­sance demeure seul, affa­mé et sans objet, tel un den­tier soli­taire, qui est fait pour man­ger mais ne le peut pas.

One cent (« e pluribus unum »)

Huile sur pan­neau – 30cm – 2018

E plu­ri­bus unum est une devise qui s’applique para­doxa­le­ment aux États-Unis d’Amérique. Le peuple est tra­ver­sé par un fort sen­ti­ment patrio­tique d’identité unique qui le fait vrai­ment : « Un seul à par­tir de plu­sieurs ». Mais l’individualisme pos­sède ce même peuple et le divise irré­mé­dia­ble­ment : indi­vi­du contre indi­vi­du, indi­vi­du contre col­lec­ti­vi­té, opi­nion contre opi­nion, race contre race, et inverse la devise : « Plu­sieurs à par­tir d’un seul ».

La tech­nique uti­li­sée pour la pre­mière phase de ma pro­duc­tion est clas­sique : pein­ture à l’huile à l’an­cienne, sur toile de lin ou sur pan­neau de bois.
La tech­nique uti­li­sée pour la deuxième phase est la même que celle uti­li­sée pour la pre­mière : pein­ture à l’huile à l’an­cienne sur pan­neau de bois. La dif­fé­rence est que le sup­port en bois est décou­pé à la main à la forme exacte de l’ob­jet ori­gi­nal afin de créer un effet de trompe l’oeil.
Le pan­neau décou­pé, ou « chan­tour­né », est pon­cé, trai­té puis recou­vert d’un enduit à base de plâtre.
Le des­sin, réa­li­sé sur un papier calque à par­tir de la pho­to­gra­phie de l’ob­jet, est ensuite appli­qué sur le pan­neau. Puis les cou­leurs sont posées en aplats, avant de tra­vailler le volume et les détails.

Oli­vier Zap­pel­li, « OZ », est né à Lau­sanne, Suisse, le 2 avril 1966. En 1990, après ses études aux Beaux-Arts, il com­mence une vie de voya­geur. Sa pre­mière des­ti­na­tion est Haï­ti, où il découvre la reli­gion vau­doue ain­si que l’art naïf et fan­tas­tique de l’île magique. Puis il séjourne en Inde où il devient sadhou, moine shi­vaïte. Pen­dant deux ans, il réa­lise plu­sieurs fresques mytho­lo­giques dans des temples du nord de l’Inde.

En 1994, durant un séjour en Nor­vège, il renoue avec la pein­ture à l’huile, tom­bée en oubli depuis les Beaux-Arts. En 1996, son art est célé­bré par le Centre inter­na­tio­nal de l’art fan­tas­tique au châ­teau de Gruyère, Suisse. Il y tient  sa pre­mière expo­si­tion en solo. Depuis 1999, OZ par­ti­cipe éga­le­ment à des expo­si­tions col­lec­tives en Suisse, en Ita­lie, en Espagne, en France, en Alle­magne, en Autriche, en Hol­lande, au Dane­mark et aux USA.

• 2022
  • Gale­rie L’In­cu­ba­teur, Bulle, Suisse | personnelle
  • Gale­rie Plexus, Mon­treux, Suisse | personnelle
•  2021 
  • « Pinoc­chio » Châ­teau de Saint-Mau­­rice, Fri­bourg, Suisse
  • Gale­rie Osmoz, Bulle, Suisse | personnelle
  • Gale­rie Plexus, Cla­rens, Suisse | personnelle
  •  
• 2020
  • « Oli­vier Zap­pel­li » Musée de Morat, Morat, Suisse | personnelle
•  2019 
  • « Mémoires vives » Espace Jean Tin­gue­ly – Niki de Saint Phalle, Fri­bourg, Suisse
  • « One mil­lion dol­lars bank­note & Excla­ma­tions » Gale­rie Car­que­ville, Gera, Allemagne
  • « Fer­ni­se­ring Lewis Car­roll » Langes Maga­sin, Fre­de­riks­sund, Danemark
• 2018
  • Gale­rie Osmoz, Bulle, Suisse | personnelle
  • « One mil­lion dol­lars bank­note » Cir­cu­lo del Arte, Tolède, Espagne
• 2016
  • Gale­rie Plexus, Mar­ly, Suisse | personnelle
  • « One mil­lion dol­lars bank­note » Museum im Schaf­stall, Neuens­tadt, Allemagne
  • « Grands for­mats et ins­tal­la­tions » Ferme Fäss­ler, Bel­faux, Suisse
  • « Le Bel­zé, foyer d’artistes » Fri­bourg, Suisse
  • Invi­té d’honneur du Club des Artistes, Fri­bourg, Suisse
  • « Le Mar­su­pi­la­mi » Châ­teau de St-Mau­­rice, Suisse
• 2015
  • « Excla­ma­tions ! » San Vicente, Tolède, Espagne
  • « Anges exquis » et « Excla­ma­tions ! » Trie­ren­berg Art, Traun, Autriche
• 2014
  • « Anges exquis » et « Excla­ma­tions ! » Centre cultu­rel Valé­­ry-Lar­­baud, Vichy, France
• 2013
  • « One mil­lion dol­lars bank­note » Musée de l’art fan­tas­tique, Palais Palf­fy, Vienne, Autriche
  • « One mil­lion dol­lars bank­note » Châ­teau de Rie­gers­burg, Autriche
  • « From Bourg to Burg » Musée de Spar­tan­burg, USA
• 2012
  • Gale­rie Plexus, Cla­rens, Suisse | personnelle
  • « Excla­ma­tions ! » Parc des expo­si­tions, Orléans, France
  • « One mil­lion dol­lars bank­note » Gale­rie d’art contem­po­rain, Cha­ma­lières, France
  • « Excla­ma­tions » Châ­teau de Sedan, France
  • « 200 ans de la ferme Fäss­ler » Bel­faux, Suisse
• 2011
  • Gale­rie Plexus, Mar­ly, Suisse | personnelle
  • « A comme aqua­relle » Espace Le Rural, Givi­siez, Suisse
  • « Ca démé­nage chez Plexus » Gale­rie Plexus, Fri­bourg, Suisse
  • « Anges exquis » Châ­teau de Rie­gers­burg, Autriche
  • « Anges exquis » Palais Ducal de Nevers, France
  • « Excla­ma­tions ! » Musée de l’art fan­tas­tique, Palais Palf­fy, Vienne, Autriche
• 2010
  • « Ombre et lumière » Thermes du Mont-Dore, France
  • « Dream­scapes » Amster­dam, Hollande
  • « Qua­drant fan­ta­sy » Gale­rie Fan­tas­mus, Sae­by, Danemark
  • « Laby­rinth to the stars » Gale­rie Amster­dam Whit­ney, New York, USA
  • « Excla­ma­tions ! » Avec le groupe Libel­lule. Cha­pelle des Jésuites, Chau­mont, France
  • « Excla­ma­tions ! » 1ère bien­nale d’art fan­tas­tique, Alten Rathaus, Viech­tach, Allemagne
  • « One mil­lion dol­lars bank­note » Avec le groupe Libel­lule. Grand palais, Paris, France
• 2009
  • Gale­rie Lagrou­ni, Genève, Suisse | personnelle
  • Gale­rie Plexus, Fri­bourg, Suisse | personnelle
  • « Anges exquis » Gale­rie Renes­sans, Flo­rence, Italie
  • « Anges exquis » Gale­rie com­mu­nale d’art moderne et contem­po­rain, Piom­bi­no, Italie
  • « Minia­tures et petits chefs‑d’œuvre » Gale­rie Fan­tas­mus, Sae­by, Danemark
  • « Dante et la Divine comé­die » Gale­rie Fan­tas­mus, Sae­by, Danemark
  • « Dante et la Divine comé­die » Alten Rathaus, Viech­tach, Allemagne
  • « Anges exquis » Châ­teau de Vas­coeuil, France
• 2008
  • « Anges exquis » Ospice St-Charles, Ros­­ny-sur-Seine, France
  • « Dream­scapes » Amster­dam, Hollande
  • « Anges exquis » Cha­pelle des Jésuites, Chau­mont, France
  • « Anges exquis » Gale­rie A l’Ecu de France, Viro­flay, France
  • « Anges exquis » Alten Rathaus, Viech­tach, Allemagne
• 2007
  • « Anges exquis » Avec le groupe Libel­lule. Usine à Zabu, Saint-Ger­­main-Des-Angles, France
  • « Vénus et l’intuition fémi­nine » Châ­teau de Sae­by, Danemark
  • « Vénus et l’intuition fémi­nine » Gale­rie The Gou­den Phoe­nix, , Hollande
  • « Anges exquis » Châ­teau de Sedan, France
  • « Dream­scapes » Gale­rie RE-ART, Almere, Hollande
  • « Pois­son rouge » Wer­khof, Fri­bourg, Suisse
• 2006
  • Gale­rie Plexus, Fri­bourg, Suisse | personnelle
  • « Regards fan­tas­tiques » Mai­rie du 16ème arron­dis­se­ment, Paris„ France
  • « Karan­da­choff » Bel­luard Boll­werk Inter­na­tio­nal, Fri­bourg, Suisse
• 2005
  • « Ele­men­tal Realms » Gale­rie Ago­ra, New York, USA
  • Gale­rie Omma, San­ta Bar­ba­ra, USA
  • Gale­rie Fri, Fri­bourg, Suisse
• 2003
  • Châ­teau de Boc­card, Givi­siez, Suisse | personnelle
  • Gale­rie Mar­ti­lia­cus, Mar­ly, Suisse
• 2002
  • « Imma­gi­na » Reg­gio Emi­lia, Italie
  • « Dou­leur, source de créa­tion » Expo­si­tion natio­nale suisse 2002, Arte­plage d’Yverdon-les-Bains, Suisse
• 2001
  • « Tra sogno e magia » Gale­rie com­mu­nale d’art moderne et contem­po­rain, Piom­bi­no, Italie
• 2000
  • « En cent méta­mor­phoses : La femme » Centre inter­na­tio­nal de l’art fan­tas­tique, châ­teau de Gruyères, Suisse
• 1999
  • « La nef des fous » Centre inter­na­tio­nal de l’art fan­tas­tique, châ­teau de Gruyères, Suisse
  • « Imma­gi­na » Reg­gio Emi­lia, Italie
• 1996
  • Centre inter­na­tio­nal de l’art fan­tas­tique, châ­teau de Gruyères, Suisse | personnelle
•  1994 
  • « Fri-BD » Cave de la rue d’Or, Fri­bourg, Suisse
• 1985
  • « Swiss bro­thers » Gale­rie La Marge, Lau­sanne, Suisse

Articles de Presse

• La Liber­té, mars 2022
• La Liber­té, 14 mai 2020
• Frei­bur­ger Nachrich­ten, 13 mars 2020
• La liber­té, 9 mai 2019
• La Gruyère, 18 octobre 2018
• La Liber­té, 31 octobre 2018
• Grand Fri­bourg, 19 juin 2015
• La liber­té, 7 avril 2007

Articles Magazines

• Revue Accro­chages, octobre 2022
• Art Aqui­si­tor, Fall 2010
• Paris Match, mai 2019
• Byblos Art, No 1 2008
• Artist Spec­trum, Novem­ber 2007
• Pharts, sep­tembre 2005
• Artist Spec­trum, V13 2004

Livre et bandes dessinées

• « Pinoc­chio ». Édi­tions de la Fon­da­tion du Châ­teau de Saint-Mau­­rice, Suisse. 2021
• « Gale­rie de pen­sées joyeuses », de Marc Boi­vin. Illus­tra­tions d’O­li­vier Zap­pel­li, 137 pages. Édi­tions Faim de Siècle, Suisse. 2021.
• Marc Boi­vin : Evan­gile des idées reçues, 155 pages, Edi­tions Faim de siècle, Suisse, 2018
• Marc Boi­vin et Oli­vier Zap­pel­li : Planches à res­sas­ser. Edi­tions Fleurs Bleues et Faim de siècle, Suisse
• Bande-des­­si­­née pour le cen­te­naire de l’université de Fri­bourg. Edi­tions uni­ver­si­taires de Fri­bourg, Suisse, 1989
• Bande-des­­si­­née pour le 400ème anni­ver­saire du Col­lège St-Michel. Edi­tions St-Michel, Suisse, 1982

Catalogues d’exposition

• 2019
  • « Mémoires vives« 
    Cahier d’ar­tistes, Musée d’art et d’his­toire de Fri­bourg, Espace Jean Tin­gue­ly – Niki de Saint Phalle
• 2018
  • Ima­gi­naire 10. Edi­tions Bru­sen, Dane­mark
  • Dream­scapes. Edi­tions Ima­gi­na­ry, Hol­lande
• 2016
  • Ima­gi­naire 9. Edi­tions Bru­sen, Danemark
  • 1700 et des pous­sières. Edi­tions Fleurs Bleues, Suisse
• 2013
  • Ima­gi­naire 6. Edi­tions Bru­sen, Danemark
• 2011
  • Libel­lule, Renais­sance contem­po­raine. Edi­tions Libel­lule, France
  • Anges exquis. Edi­tions Libel­lule, France
  • Excla­ma­tions !. Edi­tions Libel­lule, France
  • Béa­trice Guel­pa : D’une foi à l’autre. Edi­tions Labor et Fides, Suisse
• 2010
  • Art en Capi­tal : Com­pa­rai­sons. Edi­tions Cas­ta Diva, France
  • Dream­scapes. Edi­tions Ima­gi­na­ry, Hollande
  • Qua­drant Fan­ta­sy. Edi­tions Bru­sen, Danemark
  • Excla­ma­tions ! Edi­tions Libel­lule, France
  • Ima­gi­naire 3. Edi­tions Bru­sen, Danemark
• 2009
  • Gerhard Habar­ta : Lexi­kon der phan­tas­ti­schen künst­ler. Edi­tions I.F.A.A, Autriche
  • Dream­scapes. Edi­tions Ima­gi­na­ry, Hollande
  • Dante and the divine come­dy. Edi­tions Bru­sen, Danemark
  • Fran­ces­co Ragu­sa : L’Atelier. Edi­tions Faim de siècle, Suisse
  • Ima­gi­naire 2. Edi­tions Bru­sen, Danemark
• 2008
  • Meta­mor­pho­sis 2. Edi­tion Bei­nart, Aus­tra­lie
  • Ima­gi­naire 1. Edi­tions Bru­sen, Danemark
• 2007
  • Anges exquis. Edi­tions Libel­lule, France
  • Venus and the female intui­tion. Edi­tions Sal­bru, Danemark-Hollande
  • Dream­scapes. Edi­tions Sal­bru, Danemark-Hollande
• 2006
  • Regard fan­tas­tique. Edi­tions Safir, France
• 2001
  • Imma­gi­na. Edi­tions Lal­li, Ita­lie
  • Tra sogno e magia. Edi­tions Lal­li, Italie
• 2000
  • Arte Euro­pa. Edi­tions Lal­li, Italie
  • Bou­quet de plumes. Edi­tions La Sarine, Suisse
• 1993
  • Cen­te­naire des SIB. Edi­tions SIB, Suisse